
L’économie pour les nuls comme nous
L’économie est un charabia pour le commun des mortels comme nous. Entre la dette, les taxes, le CAC 40, l’inflammation ,etc on s’y perd très vite. Face à notre ignorance, une petite élite très fermée et constituée de boursiers, banquiers, économistes, etc dirigent la bourse mondial et d’une certaine manière influence fortement notre quotidien.
Il est grand temps, que de plus en plus nous nous penchions un peu sur l’économie de notre pays afin qu’ils sachent qu’ils sont surveillés. Bien évidemment, je sais qu’il faut s’armer de courage et de patience pour comprendre le B.A.BA de notre économie.
Face à ma méconnaissance sur ce sujet assez important, je me suis lancée un petit défi : apprendre petit à petit les rouages économique de notre société.
En espérant que vous allez m’accompagner dans cette quête de connaissance afin que nous puissions avoir enfin une vision simple et global de notre société capitaliste.
La dette publique
A chaque meeting politique, on nous rabâche la dette par ci et par là. Il faut faire des efforts pour diminuer la dette. Ou pire la dette a encore augmenter cette année en mode fin du monde apocalyptique pour notre pays. En effet, si nous continuons dans cette voie, nous allons connaître une crise aussi terrible que la Grèce.
Mais concrètement qu’est ce que la dette? D’où vient cette dette ? Et surtout qui en profite de cette dette?
Analyse
En septembre 2013, le montant de la dette publique française (dette brute de l’ensemble des administrations publiques) s’élevait à 1 912 milliards d’euros, soit 93,4% du PIB. Si tous les créanciers du pays venaient frapper à notre porte pour se faire rembourser, chaque Français devrait, en théorie, rembourser environ 29 500 euros.
Concrètement, nos enfants naissent endettés….
Les raisons de la dette
Depuis 1975, l’État dépense chaque année plus qu’il ne perçoit. Or, dans le même temps, le budget a explosé, passant de 16,5 milliards de dépenses en 1960 à 1 150 milliards en 2012.
Investissements massifs pour la décentralisation et les infrastructures de transport (autoroutes, TGV, aéroports) et de production d’énergie (centrales nucléaires, modernisation du réseau…) ; augmentation massive du nombre de fonctionnaires (+36% depuis 1980) : l’État est un ogre qui demande toujours plus de ressources. Quant aux pertes annuelles, elles suivent le même chemin : 1,2 milliard en 1980, contre 98 milliards en 2012.
Comment se renflouer?
Affublé d’un trou béant sur son compte, il envisage deux solutions pour le combler : augmenter ses recettes ou emprunter à la banque. Lorsqu’il ne peut pas opter pour la première, il met en branle la seconde. Mais le problème, cela coûte cher et de plus en plus cher.
Mais pourquoi cela coûte cher?
Jusque dans les années 1980, l’État refinançait l’essentiel de ses déficits en empruntant à taux zéro et même parfois à taux négatif. Cette possibilité a été fortement restreinte par la loi Pompidou de 1973 (limitant le droit de se refinancer auprès de la Banque de France), par la fin des accords de Bretton Woods et par la libéralisation financière mondiale de l’économie
Résultat : la France accumule désormais des intérêts étourdissants. En 2012, sur une dette totale de 1 833 milliards, ils s’élevaient à 1 185 milliards d’euros, soit 65% de la dette du pays. Et bien évidemment, plus la dette augmente, plus les intérêts pour la rembourser sont élevés et plus la dette augmente.
La loi Pompidou de 1973
En 1973, la loi dite Pompidou-Giscard-Rotschild a modifié les statuts de la Banque de France, en statuant que “Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la banque de France”.
Via son article 25, cette loi est accusée d’avoir mis fin à la possibilité pour l’Etat d’emprunter directement et sans intérêt auprès de sa banque centrale, et donc d’être la cause de l’endettement actuel de la France, via le paiement d’intérêt sur la dette à des créanciers privés. Actuellement, certains politiciens et gilets jaunes demandent une abrogation de cette loi et un retour à un financement direct de l’Etat.
Il faut aussi préciser qu’en l’absence de cette loi de 73, le monde occidental aurait connu au cours des années 73/84 une hyperinflation catastrophique qui aurait probablement aboutit à l’effondrement de la confiance dans la monnaie, un peu comme ce qui se passa lors de la république de Weimar.
En effet, l’inflation déjà élevée qui prévalut à l’époque à deux chiffres, aurait explosé si on avait fait fonctionner la planche à billets : en empruntant à sa banque centrale, on imprime de la monnaie, on fait marcher donc la planche à billets, et on dévalue automatiquement le stock d’argent en circulation ce qui aboutit à augmenter fortement l’inflation.
Si celle-ci est déjà élevée par un facteur autre (en l’occurrence entre 73 et 79 la hausse brutale et énorme du coût des matières premières énergétiques)
alors l’inflation explose et peut échapper à tout contrôle.
Le prix que nous payons aujourd’hui est le prix de la dette ainsi que ses intérêts colossaux. Nous aurions pu éviter les intérêts colossaux à l’époque, mais au risque d’un effondrement de la confiance dans la monnaie et le risque d’un chaos social comme lors de la République de Weimar et la misère noire qui régna en Allemagne à la fin des années 20.
Quelques soit les arguments, pour maintenir ou abroger cette loi, pas la peine de faire des études de finances pour comprendre que rembourser une dette à taux 0 est vraiment plus avantageux qu’à un taux plus élevé. De plus, il ne faut pas oublier que la misère noire qui a provoqué un chaos social en Allemagne et hissé Hitler au pouvoir est dû aux magouilles financières des banquiers…
Pourquoi tant d’intérêt?
Pour qu’une économie soit en équilibre il faut que la quantité de monnaie en circulation soit proportionnelle aux richesses réelles du pays. 15% de la monnaie créée émane des banques centrales, qui mettent en circulation pièces et billets et peuvent les détruire s’il en circule trop.
Les 85% restants proviennent des banques privées, qui créent la monnaie ex-nihilo par le crédit, par une simple procédure informatique qui équilibre la monnaie mise à disposition sur le compte de l’emprunteur avec l’échéancier de remboursement auquel celui-ci s’engage par contrat. Cet argent est détruit au fur et à mesure qu’il est remboursé. Chaque banque est autorisée à créer jusqu’à 6 fois ce qu’elle possède en monnaie réelle sur les comptes de ses clients.
L’essentiel de la monnaie en circulation vient donc du crédit. Or, depuis la loi de 1973 (devenue l’article 123 du traité de Lisbonne), l’État français ne peut plus se financer autant que par le passé auprès de sa banque centrale (aujourd’hui la Banque centrale européenne) pour combler ses déficits. Il se tourne donc essentiellement vers les banques commerciales, tout comme les entreprises et les particuliers.
Cette situation pose deux problèmes principaux :
-Accéder à la monnaie coûte cher. Il faut perpétuellement rembourser des intérêts aux banques.
-Cette monnaie disparaît au fur et à mesure qu’elle est remboursée, obligeant à refaire des crédits pour maintenir la bonne quantité de monnaie en circulation.
Les entreprises commerciales françaises le savent, elles qui totalisent une dette cumulée de 7 000 milliards d’euros. L’endettement des ménages s’élevait pour sa part à 1 156 milliards d’euros fin 2013 : les 1 912 milliards de dette de l’État ne sont qu’une partie du problème…
Nous le voyons, dans un système où il faut perpétuellement soutenir une croissance économique matérielle, le crédit est roi. Et chacun est encouragé à y faire appel. Il permet aux entreprises d’investir, à la puissance publique de développer de nouveaux services, aux ménages de se loger ou de s’équiper.
Les conséquences
Cette situation a deux retombées : d’une part l’économie est considérablement fragilisée, elle menace de faire sombrer des pays entiers dans la faillite, de voir des millions de personnes se retrouver à la porte de leur logement comme cela s’est passé en Espagne ou aux États-Unis (où le surendettement est toléré, voir encouragé !). D’autre part, l’ensemble des activités humaines est subordonné à leurs créanciers, c’est-à-dire à la seule puissance financière.
La dette est aujourd’hui l’instrument permettant à des organisations financières (banques, FMI…) et à des États de prendre le contrôle d’autres États ou de les installer dans une position de dépendance et de fragilité leur retirant la capacité d’exercer pleinement leur souveraineté. L’exemple de l’Argentine il y a quelques années est édifiant : celui qui tient la dette tient le débiteur entre ses mains.
Les pistes pour s’en sortir semblent aller dans le sens d’une autonomie de l’économie accrue vis-à-vis de la finance. Les banques sont utiles, mais elles n’ont pas vocation à contrôler le monde. Il faut d’urgence libérer la capacité de création monétaire pour la rendre à des puissances publiques élues et contrôlables démocratiquement (États, collectivités, coopératives…) et réduire notre dépendance à l’argent (vivre selon nos moyens, aussi dur que cela puisse être).
Et si vous n’avez toujours rien compris, ce n’est pas grave. Je vous invite a visionner cette petite vidéo qui vous expliquera la dette publique grâce au dessin. Et qui est personnellement une méthode très efficace.
Sources:
-Wikipédia
-Kaizen-magazine
-Captain economics
-Dessine moi l’économie sur Youtube
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Nous avons donc herité des dons de nos aïeux ainsi que leur capacité à communiquer avec l'Invisible. Hélas, nou pa lé kwè ! La peur et le discours du colon ka tjerbolizé lespri nou.
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Les contes et légendes font partie de notre tradition orale. Mais connaissons nous vraiment l'étendue des dégâts provoquée par la christianisation ? Il faudrait sans doute revisiter certains de nos contes...
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Petite introduction à notre médecine traditionnelle antillaise afin de valoriser notre héritage. Bien évidemment, cela peut différer selon les îles car les Antilles ne se résument pas qu'aux îles colonisées par la Fwans.
Si vous avez un lopin de terre, plantez et cessez de faire la guerre aux mauvaises herbes. Les mauvaise herbes comme ils disent sont essentiels dans notre pharmacopée !
Et si vous connaissez un guérisseur, tendez bien l'oreille pour enregistrer ses secrets pour que la transmission perdure. Notre avenir est dans notre jardin karayib !
Un grand merci aux travaux de Christiane Bougerol qui a enquêté sur nos us et coutumes afin de les préserver🌺.
Belle illustration de @confluence_art_storytale
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J'ai écrit ce texte il y a quelques mois quand j'ai commencé à apprendre les chansons de la prière dyo. Une longue et vibrante prière qui relate notre histoire avec son lot de souffrance mais aussi d'espoir.
On cherche ailleurs alors que tout est là devant nous et en nous. Sonjé, yo lé wè'w touni an tèt !
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Save the date !
Vous êtes de plus en plus nombreux à me reclamer un live pour expliquer mon parcours spirituel et surtout mon affinité avec le vodu haïtien.
Comme dit certains : pourquoi le vodu haïtien ? En 2023, les gens sont toujours choqués mais bon dapré yo hein 🤣.
Du coup, je ne peux plus faire la sauvage qui disait awa 😅. Faut bien que j'ouvre un peu ma bouche afin de mieux partager car en verité notre transmission est orale.
À vendredi 🌺
Je ne pouvais plus hurler haut et fort qu'il fallait dédiaboliser nos pratiques ancestrales, renouer avec nos ancêtres, renouer avec notre histoire caribéenne, etc sans m'initier dans le vodu haïtien.
Même si je faisais un travail de pédagogie, je me sentais de moins en moins légitime car je n'étais pas intiée... oui j'avais un autel, etc mais je n'avais encore vécu le nannan des choses. Du concret, du palpable, bref man viv li !
Merci Manbo Rosmy de m'avoir permis d'accéder au grade d'hounsi. Prochaine étape Haïti mais man poko paré 😅. En tout cas avec du recul, c'est là que je comprends mieux le pourquoi du comment de mon cheminement.
Les signes étaient déjà là, c'est juste que je n'avais pas encore la connaissance pour les comprendre. À l'heure d'aujourd'hui, je ne peux pas dire que les lwa n'existent pas, awa ! Et je ne peux plus me cacher.
Ayibobo
Les susceptibles comme la plante marie honte, ne perdez pas votre temps à vous emporter en commentaire ou en DM. Mwen san fouté car de temps en temps, il faut savoir prendre du recul et accepter nos défauts pour mieux avancer. La vie paradisiaque sous les cocotiers est une illusion pour bon nombre d'entre nous. Oui oui, c'est une realité même si certains trompent les makrel avec l'audi ou en paradant dans les soirées.
Bien entendu, je vois de loin ceux qui vont dire ki sa nou pé fè ? Depuis le temps que les gens en parlent et c'est maintenant que tu te poses la question ? Srx ? Tu vas au sud de l'île sans y voir le problème ? Tjip !
Bref man té ni sa pou di zot. Moi même là je vais lâcher prise lors de ma retraite spirituelle tant souhaitée. En espérant, que mes aïeux pourront plus facilement venir me voir pour enfin me communiquer la recette du parfum attrape un job afin d'aider Math la galère 🥴.
PS : les témoignages sont réels, j'ai juste changé le nom de certains surtout celui de Sonia la DRH, an bwabwa ki la (ou pa kontan ? Mwen san fouté !)
#martinique #guadeloupe #antilles #caraïbe #politique #retouropéyi #martiniquaise #martiniquais #manténisapoudizot
Les milans du voisinage m'ont rapporté le gros cancan entre un jeune homme et son beau-père suite à un hématome cérébral de la mère..
Les mauvaises langues disaient que c'était parceque la tête de brave femme tapait trop souvent blo contre la tête de lit 🤣. Pour sûr, malgré les saignement dans la calbèche et les avertissements du neurologue, la dame ne voulait surtout pas arrêter son commerce avec son jeune et vigoureux époux. Hanhan piès !
"Mourir dans l'évanouissement de félicité de koko et de langue est la meilleure mort tonnè !" Disait elle à ses copines sur le parvis de l'église.
Pendant ce temps, le bruit dérangeait le sommeil du fils dans la chambre avoisinante qui malheureusement devait se battre entre une bande pas catholique ou un gwo pléré...
Sé mwen ki ka manjé lanbi manman'w disponible sur le site (lien dans ma bio) et en Podcast (Parole d'une commère caribéenne) sur Spotify, Soudcloud, Deezer, Amazon music.
Illustration bien comme il faut de @confluence_art_storytale
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Ps : si reception avant la date la box sera envoyée.
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Je vous souhaite de bonnes vacances de Carnaval 🥳.
Je vous donne rdv à partir du 6 mars, le temps pour moi de souffler un peu et de préparer bien comme il faut la suite de mes projets.
Le réapprovisionnement des livres surtout de Sé vis ki est en cours. En attendant vous pouvez réserver votre exemplaire en précommande sur le site (lien dans ma bio). Et même découvrir le pouvoir mystique des plantes, disponible en Pdf sur le site.
Prochain podcast : Sé mwen ki ka manjé lanbi manman'w
Prochain livre : Les mystères occultes des îles, deuxième partie
Et après plus de 4 ans, j'ai décidé de faire occasionnellement des lives sur instagram. Mais occasionnellement hein ! Faut que je me déride un peu 😅.
Bisous
@yummymq est une amoureuse d’écriture épicée qui s’est retrouvée dans le faitout des mots lors de sa rencontre avec la scène slam de l’île. Elle aime mettre son grain de sel dans l’expression de la sensualité, et du miel dans celle de la sexualité. Dans le présent ouvrage elle s’essayera à la romance en restant fidèle à son premier amour, Le slam.
Elle vous plongera donc sans aucune discrétion et lubrifiant dans les tourments d’amour et de passion de Mél. Comme des voyeurs vous partagerez sa soif du désir jouissif, mais aussi sa descente dans les abysses de la dépendance.
@heritage_des_iles est le rêve du poto mitan d'une famille. Une mère qui a su partager et transmettre sa passion pour les plantes et la terre à ses enfants. Maintenant ses héritiers ont pour mission de créer un rituel autour de la tisane pour vous faire profiter des vertus des plantes de la Caraïbe au quotidien. Sur leur site, il propose toute une gamme de tisanes péyi dont ma préférée la Tisane Peyi Kayali Merise (atoumo, menthe, basilic et merise).
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