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Poids | 146 g |
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Depuis quelques années, Jacqueline, jeune avocate martiniquaise installée à Paris, s’est éloignée de sa famille et de son île. Mais, la mort foudroyante de son père l’oblige à rentrer précipitamment au pays et à renouer avec sa demi-sœur Noémie, une adolescente abandonnée par sa mère depuis sa naissance.
Rongée par la tristesse et les regrets, Jacqueline doit trouver la force d’organiser l’enterrement de leur père, et prendre la responsabilité de sa petite sœur. Mais rien ne se passe comme prévu : toute sa méticuleuse organisation est chamboulée par l’apparition d’une défunte voisine lors de la veillée mortuaire…
Selon l’esprit, les sœurs auront la chance de converser une dernière fois avec leur père le septième jour après son enterrement. Pour y parvenir, elles devront cheminer de la maison du défunt vers le cimetière à pied et au mitan de la nuit. La nuit martiniquaise étant le moment le plus propice aux apparitions maléfiques et aux manifestations de l’Invisible, les sœurs devront puiser dans leurs souvenirs d’enfance et dans leur amour pour leur père pour survivre à ce dernier périple funéraire et emprunter le chemin des adieux.
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N`oubliez surtout pas que notre langue maternelle respecte les mêmes codes que nos langues ancestrales africaines (philosophie, mathématique, vibration, etc) Ne croyez surtout pas que c`est juste une déformation banane du français à la sauce arachide de l`Afrique. Sé sa yo lé zot kwè pou pa zot konprann nannan-an!
La preuve, on l`utilise seulement pour exprimer nos fortes émotions...mais le reste ? Ou pire, nous transformons notre langue au profit du français par méconnaissance. Mi la sa danjéré menm !
Prenez le temps de respecter la création de notre verbe. Il y a toujours une première, une deuxième et une troisième lecture....
#fokousav #kreyol
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